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Différences entre les versions de « Heinrich Ziegler »

De Commission Historique
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|These=Beitrag zur Klinik der Cystenniere
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|Annee_these=1944
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|Dir_these=Werner Hangarter
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|Contexte_fr====L’enfance et la scolarité===
|Contexte_fr====L’enfance et la scolarité===


Heinrich Ziegler est né le 17 novembre 1919 à Mühlhausen dans l’État libre de Waldeck, un petit village situé à l’ouest de Cassel. Son père, Friedrich Ziegler, était maître menuisier (''Schreinermeister'') et sa mère, Lina née Brüne, était femme au foyer<ref name="23Z7PX29, p. 36">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944. , p. 36.</ref> .
Heinrich Ziegler est né le 17 novembre 1919 à Mühlhausen dans l’État libre de Waldeck, un petit village situé à l’ouest de Cassel. Son père, Friedrich Ziegler, était maître menuisier (''Schreinermeister'') et sa mère, Lina née Brüne, était femme au foyer<ref name="23Z7PX29, p. 36">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 36.</ref> .


Heinrich débute son cursus scolaire obligatoire à l'école élémentaire (''Volksschule'') de Mülhausen. Il poursuit ensuite sa scolarité dans le secondaire durant les années 1930 et fréquente le ''Reform-Real-Gymnasium'' de la ville voisine d’Arolsen, où il réussit l’examen du baccalauréat (''Reifeprüfung'') au printemps de l’année 1938<ref name="23Z7PX29, p. 36">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944. , p. 36.</ref> .  
Heinrich débute son cursus scolaire obligatoire à l'école élémentaire (''Volksschule'') de Mülhausen. Il poursuit ensuite sa scolarité dans le secondaire durant les années 1930 et fréquente le ''Reform-Real-Gymnasium'' de la ville voisine d’Arolsen, où il réussit l’examen du baccalauréat (''Reifeprüfung'') au printemps de l’année 1938<ref name="23Z7PX29, p. 36">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 36.</ref> .  


Une fois diplômé du baccalauréat, Ziegler se soumet aux obligations civiques et militaires en effectuant tout d’abord les six mois requis du RAD, le service du travail obligatoire imposé aux jeunes gens depuis 1935 (''Arbeitsdienstpflicht''). Après le RAD, il s’engage volontairement (''freiwillige Meldung'') dans l’armée allemande et se retrouve versé dans une unité d'artillerie antiaérienne (''Flakartillerie'') basée à Dortmund<ref name="23Z7PX29, p. 36">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944. , p. 36.</ref> .
Une fois diplômé du baccalauréat, Ziegler se soumet aux obligations civiques et militaires en effectuant tout d’abord les six mois requis du RAD, le service du travail obligatoire imposé aux jeunes gens depuis 1935 (''Arbeitsdienstpflicht''). Après le RAD, il s’engage volontairement (''freiwillige Meldung'') dans l’armée allemande et se retrouve versé dans une unité d'artillerie antiaérienne (''Flakartillerie'') basée à Dortmund<ref name="23Z7PX29, p. 36">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 36.</ref> .


===Les études de médecine===
===Les études de médecine===


Le 1<sup>er</sup> octobre 1939, après environ un an de service militaire, Heinrich Ziegler est détaché du service actif (''abkommandiert'') pour débuter des études de médecine. Tout en restant soldat de la Wehrmacht, il s'inscrit à la faculté de médecine de l'université de Leipzig pour y suivre le premier semestre de sa formation. Il poursuit son cursus à l'université de Marbourg et se voit contraint, à la fin de la première année d’études, d’interrompre momentanément sa formation médicale pour raisons militaires<ref name="23Z7PX29, p. 36">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944. , p. 36.</ref> .  
Le 1<sup>er</sup> octobre 1939, après environ un an de service militaire, Heinrich Ziegler est détaché du service actif (''abkommandiert'') pour débuter des études de médecine. Tout en restant soldat de la Wehrmacht, il s'inscrit à la faculté de médecine de l'université de Leipzig pour y suivre le premier semestre de sa formation. Il poursuit son cursus à l'université de Marbourg et se voit contraint, à la fin de la première année d’études, d’interrompre momentanément sa formation médicale pour raisons militaires<ref name="23Z7PX29, p. 36">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 36.</ref> .  


En effet, avec le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale quelques mois plus tôt, son détachement à l'université est suspendu et Ziegler est muté dans une unité de la Luftwaffe pour participer à la campagne de France. À nouveau dégagé du service armé à la fin de cette campagne militaire, Heinrich parvient à reprendre ses études à l’université Marburg<ref name="23Z7PX29, p. 36">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944. , p. 36.</ref> .  
En effet, avec le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale quelques mois plus tôt, son détachement à l'université est suspendu et Ziegler est muté dans une unité de la Luftwaffe pour participer à la campagne de France. À nouveau dégagé du service armé à la fin de cette campagne militaire, Heinrich parvient à reprendre ses études à l’université Marburg<ref name="23Z7PX29, p. 36">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 36.</ref> .  


Au printemps 1941, lors du semestre d’été 1941, Ziegler réussit sa ''ärztliche Vorprüfung'', l’examen qui clôture la première partie du cursus médical, dit préclinique. Ses études de médecine sont alors à nouveau entrecoupées pendant six mois par un rappel sous les drapeaux (''Truppendienstzeit''). À l’automne 1941, avec l’inauguration de la ''Reichsuniversität Straßburg'' en Alsace annexée, Heinrich Ziegler à s’immatriculer dans cette nouvelle université du Reich pour suivre par le cycle dit clinique de sa formation universitaire. Présent sur place dès le semestre d’hiver 1941-1942, Ziegler y suit cinq semestres cliniques, jusqu’en 1944<ref>Sur les dates de la présence de Ziegler à la ''Reichsuniversität Strassburg'', on renvoie ici aux travaux originaux non publiés de Tania Elias.</ref>.
Au printemps 1941, lors du semestre d’été 1941, Ziegler réussit sa ''ärztliche Vorprüfung'', l’examen qui clôture la première partie du cursus médical, dit préclinique. Ses études de médecine sont alors à nouveau entrecoupées pendant six mois par un rappel sous les drapeaux (''Truppendienstzeit''). À l’automne 1941, avec l’inauguration de la ''Reichsuniversität Straßburg'' en Alsace annexée, Heinrich Ziegler à s’immatriculer dans cette nouvelle université du Reich pour suivre par le cycle dit clinique de sa formation universitaire. Présent sur place dès le semestre d’hiver 1941-1942, Ziegler y suit cinq semestres cliniques, jusqu’en 1944<ref>Sur les dates de la présence de Ziegler à la ''Reichsuniversität Straβburg'', on renvoie ici aux travaux originaux non publiés de Tania Elias.</ref>.


===La thèse de doctorat de médecine===
===La thèse de doctorat de médecine===


En 1943, durant ses études à la faculté de médecine de la ''Reichsuniversität Straßburg'' en Alsace annexée, Heinrich Ziegler parachève sa formation universitaire en préparant une thèse de doctorat de médecine. Sous la direction du professeur Werner Hangarter (1904-1982) du service de médecine interne de la clinique médicale, Ziegler rédige une thèse de trente-huit pages intitulée « Contribution à l’étude clinique du rein polycystique » (''Beitrag zur Klinik der Cystenniere''), qu’il soutient en 1944 avec comme examinateur le ''Dozent'' Wilhelm Dieker<ref name="23Z7PX29">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944.</ref> .
En 1943, durant ses études à la faculté de médecine de la ''Reichsuniversität Straßburg'' en Alsace annexée, Heinrich Ziegler parachève sa formation universitaire en préparant une thèse de doctorat de médecine. Sous la direction du professeur Werner Hangarter (1904-1982) du service de médecine interne de la clinique médicale, Ziegler rédige une thèse de trente-huit pages intitulée « Contribution à l’étude clinique du rein polycystique » (''Beitrag zur Klinik der Cystenniere''), qu’il soutient en 1944 avec comme examinateur le ''Dozent'' Wilhelm Dieker<ref name="23Z7PX29">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944.</ref> .


Dans celle-ci, après avoir défini le sujet de sa thèse (p. 1)<ref name="23Z7PX29, p. 1">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944. , p. 1.</ref> , Ziegler dévoile des éléments détaillés sur la pathologie qu'il étudie (p. 1-7)<ref name="23Z7PX29, p. 36">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944. , p. 36.</ref> , sur sa fréquence (p. 7)<ref name="23Z7PX29, p. 7">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944. , p. 7.</ref> , sa symptomatologie (p. 9-11)<ref name="23Z7PX29, p. 9-11">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944. , p. 9-11.</ref> , son diagnostic (p. 11-13)<ref name="23Z7PX29, p. 11-13">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944. , p. 11-13.</ref> , son traitement (p. 13-15)<ref name="23Z7PX29, p. 13-15">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944. , p. 13-15.</ref>  et son hérédité (p. 15-23)<ref name="23Z7PX29, p. 15-23">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944. , p. 15-23.</ref> . Dans la dernière partie de son travail, Heinrich Ziegler développe plus spécifiquement le cas d'une jeune patiente de dix-sept ans hospitalisée à la clinique médicale A (''Medizinische Klinik II'') de la ''Reichsuniversität Strassburg'' (p. 24-29)<ref name="23Z7PX29, p. 24-29">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Strassburg, 1944. , p. 24-29.</ref> .  
Dans celle-ci, après avoir défini le sujet de sa thèse (p. 1)<ref name="23Z7PX29, p. 1">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 1.</ref> , Ziegler dévoile des éléments détaillés sur la pathologie qu'il étudie (p. 1-7)<ref name="23Z7PX29, p. 36">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 36.</ref> , sur sa fréquence (p. 7)<ref name="23Z7PX29, p. 7">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 7.</ref> , sa symptomatologie (p. 9-11)<ref name="23Z7PX29, p. 9-11">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 9-11.</ref> , son diagnostic (p. 11-13)<ref name="23Z7PX29, p. 11-13">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 11-13.</ref> , son traitement (p. 13-15)<ref name="23Z7PX29, p. 13-15">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 13-15.</ref>  et son hérédité (p. 15-23)<ref name="23Z7PX29, p. 15-23">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 15-23.</ref> . Dans la dernière partie de son travail, Heinrich Ziegler développe plus spécifiquement le cas d'une jeune patiente de dix-sept ans hospitalisée à la clinique médicale A (''Medizinische Klinik II'') de la ''Reichsuniversität Straβburg'' (p. 24-29)<ref name="23Z7PX29, p. 24-29">Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 24-29.</ref> .  





Version actuelle datée du 7 avril 2022 à 17:47


Heinrich Ziegler
Prénom Heinrich
Nom Ziegler
Sexe masculin
Naissance 17 novembre 1919 (Mühlhausen in Waldeck (Hesse))
These Beitrag zur Klinik der Cystenniere (Reichsuniversität Straβburg, 1944)
Examen 21 septembre 1944
Directeur de thèse Werner Hangarter
Profession Arzt

Titre Dr. med.


Heinrich Ziegler (1919-?) est un médecin allemand qui a fait ses études de médecine durant la Seconde Guerre mondiale, entre 1939 et 1944. En tant que soldat de la Wehrmacht, il a débuté sa formation médicale à l’université de Leipzig (1939), avant de la poursuivre à celle de Marbourg (1940-1941) et enfin à la Reichsuniversität Straßburg en Alsace annexée (1941-1944). En 1943-1944, sous la direction du professeur Werner Hangarter (1904-1982) du service de médecine interne de la clinique médicale de la Reichsuniversität Straßburg, Heinrich Ziegler prépare une thèse de doctorat de médecine sur l’étude clinique du rein policystique.

Biographie

L’enfance et la scolarité

Heinrich Ziegler est né le 17 novembre 1919 à Mühlhausen dans l’État libre de Waldeck, un petit village situé à l’ouest de Cassel. Son père, Friedrich Ziegler, était maître menuisier (Schreinermeister) et sa mère, Lina née Brüne, était femme au foyer[1] .

Heinrich débute son cursus scolaire obligatoire à l'école élémentaire (Volksschule) de Mülhausen. Il poursuit ensuite sa scolarité dans le secondaire durant les années 1930 et fréquente le Reform-Real-Gymnasium de la ville voisine d’Arolsen, où il réussit l’examen du baccalauréat (Reifeprüfung) au printemps de l’année 1938[1] .

Une fois diplômé du baccalauréat, Ziegler se soumet aux obligations civiques et militaires en effectuant tout d’abord les six mois requis du RAD, le service du travail obligatoire imposé aux jeunes gens depuis 1935 (Arbeitsdienstpflicht). Après le RAD, il s’engage volontairement (freiwillige Meldung) dans l’armée allemande et se retrouve versé dans une unité d'artillerie antiaérienne (Flakartillerie) basée à Dortmund[1] .

Les études de médecine

Le 1er octobre 1939, après environ un an de service militaire, Heinrich Ziegler est détaché du service actif (abkommandiert) pour débuter des études de médecine. Tout en restant soldat de la Wehrmacht, il s'inscrit à la faculté de médecine de l'université de Leipzig pour y suivre le premier semestre de sa formation. Il poursuit son cursus à l'université de Marbourg et se voit contraint, à la fin de la première année d’études, d’interrompre momentanément sa formation médicale pour raisons militaires[1] .

En effet, avec le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale quelques mois plus tôt, son détachement à l'université est suspendu et Ziegler est muté dans une unité de la Luftwaffe pour participer à la campagne de France. À nouveau dégagé du service armé à la fin de cette campagne militaire, Heinrich parvient à reprendre ses études à l’université Marburg[1] .

Au printemps 1941, lors du semestre d’été 1941, Ziegler réussit sa ärztliche Vorprüfung, l’examen qui clôture la première partie du cursus médical, dit préclinique. Ses études de médecine sont alors à nouveau entrecoupées pendant six mois par un rappel sous les drapeaux (Truppendienstzeit). À l’automne 1941, avec l’inauguration de la Reichsuniversität Straßburg en Alsace annexée, Heinrich Ziegler à s’immatriculer dans cette nouvelle université du Reich pour suivre par le cycle dit clinique de sa formation universitaire. Présent sur place dès le semestre d’hiver 1941-1942, Ziegler y suit cinq semestres cliniques, jusqu’en 1944[2].

La thèse de doctorat de médecine

En 1943, durant ses études à la faculté de médecine de la Reichsuniversität Straßburg en Alsace annexée, Heinrich Ziegler parachève sa formation universitaire en préparant une thèse de doctorat de médecine. Sous la direction du professeur Werner Hangarter (1904-1982) du service de médecine interne de la clinique médicale, Ziegler rédige une thèse de trente-huit pages intitulée « Contribution à l’étude clinique du rein polycystique » (Beitrag zur Klinik der Cystenniere), qu’il soutient en 1944 avec comme examinateur le Dozent Wilhelm Dieker[3] .

Dans celle-ci, après avoir défini le sujet de sa thèse (p. 1)[4] , Ziegler dévoile des éléments détaillés sur la pathologie qu'il étudie (p. 1-7)[1] , sur sa fréquence (p. 7)[5] , sa symptomatologie (p. 9-11)[6] , son diagnostic (p. 11-13)[7] , son traitement (p. 13-15)[8] et son hérédité (p. 15-23)[9] . Dans la dernière partie de son travail, Heinrich Ziegler développe plus spécifiquement le cas d'une jeune patiente de dix-sept ans hospitalisée à la clinique médicale A (Medizinische Klinik II) de la Reichsuniversität Straβburg (p. 24-29)[10] .


Loïc Lutz.


Repères

Localisations

Nationalités

  • Allemand

Confessions

Publications

Relations

Disciple de

Liens à institutions

Universität Leipzig

Reichsuniversität Straβburg

Universität Marburg

Luftwaffe

Reichsarbeitsdienst, RAD

1919-11-17T00:00:00Z
Vie privée
Naissance
1944-01-01T00:00:00Z
Vie privée
Thèse
1944-09-21T00:00:00Z
Vie privée
Examen
1939-10-01T00:00:00Z
1939-12-31T00:00:00Z
Carrière
1941-11-01T00:00:00Z
1944-09-21T00:00:00Z
Carrière
1940-01-01T00:00:00Z
1941-11-01T00:00:00Z
Carrière
1938-10-01T00:00:00Z
1939-09-30T00:00:00Z
Carrière
Luftwaffe, Soldat,
1940-05-01T00:00:00Z
1940-06-01T00:00:00Z
Carrière
Luftwaffe, Soldat,
1938-04-01T00:00:00Z
1938-09-01T00:00:00Z
Carrière
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Références

À propos de cette page

Rédaction : ©Loic.lutz



  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 et 1,5 Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 36.
  2. Sur les dates de la présence de Ziegler à la Reichsuniversität Straβburg, on renvoie ici aux travaux originaux non publiés de Tania Elias.
  3. Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944.
  4. Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 1.
  5. Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 7.
  6. Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 9-11.
  7. Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 11-13.
  8. Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 13-15.
  9. Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 15-23.
  10. Ziegler, Heinrich. Beitrag zur Klinik der Zystenniere. Diss. med.. Straβburg, 1944. , p. 24-29.