Différences entre les versions de « Juliane Altehans »
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|Resume_fr=Née le 18 mai 1920 à Vlotho, Juliane Altehans est la fille du fabricant de cigarres Karl Altehans et de son épouse Frieda, née Behrung. Elle fréquente la ''Volksschule'' (école élémentaire) pendant 4 ans avant d'entrer à la ''Höhere Stadtschule'' (école municipale supérieure) de Vlotho à Pâques 1930. A partir du printemps 1935, elle fréquente la section linguistique de l' ''Oberschule'' (établissement d'enseignement secondaire) pour jeunes filles d'Herford et y passe le ''Reifeprüfung'' (correspondant au baccalauréat) en février 1939. Jugée temporaiement inapte à l' ''Arbeitsdienst'' (service de travail) en raison d'un accident, elle effectue son service | |Resume_fr=Née le 18 mai 1920 à Vlotho, Juliane Altehans est la fille du fabricant de cigarres Karl Altehans et de son épouse Frieda, née Behrung. Elle fréquente la ''Volksschule'' (école élémentaire) pendant 4 ans avant d'entrer à la ''Höhere Stadtschule'' (école municipale supérieure) de Vlotho à Pâques 1930. A partir du printemps 1935, elle fréquente la section linguistique de l' ''Oberschule'' (établissement d'enseignement secondaire) pour jeunes filles d'Herford et y passe le ''Reifeprüfung'' (correspondant au baccalauréat) en février 1939. Jugée temporaiement inapte à l' ''Arbeitsdienst'' (service de travail) en raison d'un accident, elle effectue son service | ||
|Resume_de=Juliane Altehans wurde "am 18. Mai als Tochter des Zigarrenfabrikanten Karl Altehans und dessen Ehefrau Frieda, geb. Behrung in Vlotho/Weser geboren. Nach 4 jährigen Besuch der Volksschule trat [sie] Ostern 1930 in die Höhere Stadtschule Vlotho ein. Vom Frühjahr 1935 an besuchte [sie] dann die Oberschule für Mädchen, sprachl. Form, zu Herford, an der [sie] im Februar 1939 die Reifeprüfung bestand. - Da [sie] durch einen Unfall zeitlich arbeitsdienstuntauglich war, leistete [sie seine] 1/2 jährige Ausgleichsdienstzeit im Sommer 1939 in einem N.S.V. Kindergarten in Ennigloh b/Bünde, Westf. ab. | |Resume_de=Juliane Altehans wurde "am 18. Mai als Tochter des Zigarrenfabrikanten Karl Altehans und dessen Ehefrau Frieda, geb. Behrung in Vlotho/Weser geboren. Nach 4 jährigen Besuch der Volksschule trat [sie] Ostern 1930 in die Höhere Stadtschule Vlotho ein. Vom Frühjahr 1935 an besuchte [sie] dann die Oberschule für Mädchen, sprachl. Form, zu Herford, an der [sie] im Februar 1939 die Reifeprüfung bestand. - Da [sie] durch einen Unfall zeitlich arbeitsdienstuntauglich war, leistete [sie seine] 1/2 jährige Ausgleichsdienstzeit im Sommer 1939 in einem N.S.V. Kindergarten in Ennigloh b/Bünde, Westf. ab. | ||
Im Oktober 1939 begann [sie sein] Medizinstudium in Marburg a/Lahn, wo [sie] im März 1941 die ärztl. Vorprüfung bestand. Das erste klin. Semester belegte [sie] in Heidelberg. [Ab] der Eröffnung der Reichsuniversität | Im Oktober 1939 begann [sie sein] Medizinstudium in Marburg a/Lahn, wo [sie] im März 1941 die ärztl. Vorprüfung bestand. Das erste klin. Semester belegte [sie] in Heidelberg. [Ab] der Eröffnung der Reichsuniversität Straβburg [setzte sie dort sein] Studium fort und [beabsichtigte, dort] im Sommer 1944 [sein] Staatsexamen abzulegen." | ||
|Contexte_fr===Enfance et scolarité== | |||
Juliane Altehans est née le 18 mai 1920 à Vlotho en Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Fille du fabriquant de cigares Karl Altehans et de son épouse Frieda née Behrung, Juliane effectue sa scolarité dans sa ville natale. Pendant quatre années, elle fréquente l’école élémentaire, puis s’inscrit à la Höhere Stadtschule de Vlotho au début de l’année 1930. Cinq ans plus tard, elle poursuit sa scolarité dans le secondaire à l’Oberschule pour filles à Herford (sprachliche Form), où elle obtient son baccalauréat (Reifeprüfung) en février 1939. En raison d’un accident, Juliane Altehans est momentanément dans l’incapacité d’effectuer son service du travail obligatoire (arbeitsdienstuntauglich). Cependant, au cours de l’été 1939, elle est amenée à travailler, pendant une durée équivalente de six mois (Ausgleichsdienstzeit), dans une crèche (Kindergarten) gérée par le secours populaire national-socialiste (NSV) à Ennigloh près de Bünde en Westphalie<ref name="a9a944fc2cc41364ac54dd8a55ceded576c22fe6">ALTEHANS Juliane, ''Das Krankheitsbild der Dystrophia myotonica mit besonderer Rücksichtigung der Veränderungen des knöchenden Schädels'', thèse de doctorat de médecine, Strasbourg : Reichsuniversität Strassburg, 1944, p. 55..</ref>. | |||
==Les études de médecine== | |||
En octobre 1939, une fois le service du travail obligatoire accompli, Juliane Altehans débute des études de médecine à l’université de Marburg/Lahn. En mars 1941, elle y achève le cycle dit « préclinique », en réussissant sa Ärztliche Vorprüfung. Cet examen intermédiaire de médecine, qui se déroule généralement à la fin du quatrième semestre, conclut le cycle court des études médicales et ouvre la possibilité de poursuivre le cycle long, le cursus dit « clinique ». Juliane Altehans se rend alors à l’Université d’Heidelberg, où elle n’est immatriculée que quelques mois. En effet, avec l’inauguration de la Reichsuniversität Straßburg en Alsace annexée en novembre 1941, Juliane Altehans se rend à Strasbourg pour la fin de son cursus universitaire. C’est dans cette université qu’elle prépare la rédaction d’une thèse de doctorat de médecine. De plus, au moment de la rédaction de son manuscrit en 1944, Juliane Altehans indique qu’elle « envisage, à l’été 1944, d’effectuer son Staatsexamen à Strasbourg », un examen qui qui permet au jeune diplômé de s’établir comme médecin<ref name="4308c30dc9d7c18550de0b3827108accd2065d3d">ALTEHANS, ''Das Krankheitsbild der Dystrophia myotonica''…, ''op. cit.'', p. 55..</ref>. | |||
==La thèse de doctorat== | |||
Sous la direction des Professeurs H.J. Wolf du département de médecine interne de l’hôpital municipal de Bielefeld et de J. Stein, doyen de la faculté de médecine de la Reichsuniversität Straßburg, Juliane Altehans rédige une thèse de doctorat de médecine en 1944. Elle était rattachée à la fois au Département de médecine interne de l’hôpital municipal de Bielefeld, ainsi qu’à la faculté de médecine de la Reichsuniversität Straßburg et à la clinique neurologique de la même université (dirigée par le Professeur August Bostroem). Elle soutient sa thèse, intitulée « Das Krankheitsbild der Dystrophia Myotonica mit besonderer Berücksichtigung der Veränderungen des knöchernen Schädels », le 21 septembre 1944 devant les Professeurs Wolf et Stein, accompagnés du Oberarzt Wolbergs de Strasbourg<ref name="4308c30dc9d7c18550de0b3827108accd2065d3d">ALTEHANS, ''Das Krankheitsbild der Dystrophia myotonica''…, ''op. cit.'', p. 55..</ref>. | |||
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Version actuelle datée du 29 décembre 2022 à 10:27
Juliane Altehans | |
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Prénom | Juliane |
Nom | Altehans |
Sexe | feminin |
Naissance | 18 mai 1920 (Vlotho/Weser) |
These | Das Krankheitsbild der Dystrophia myotonica mit besonderer Berücksichtigung der Veränderungen des knöchernen Schädels (Reichsuniversität Straβburg, 1944) |
Spécialités | Medizin |
Née le 18 mai 1920 à Vlotho, Juliane Altehans est la fille du fabricant de cigarres Karl Altehans et de son épouse Frieda, née Behrung. Elle fréquente la Volksschule (école élémentaire) pendant 4 ans avant d'entrer à la Höhere Stadtschule (école municipale supérieure) de Vlotho à Pâques 1930. A partir du printemps 1935, elle fréquente la section linguistique de l' Oberschule (établissement d'enseignement secondaire) pour jeunes filles d'Herford et y passe le Reifeprüfung (correspondant au baccalauréat) en février 1939. Jugée temporaiement inapte à l' Arbeitsdienst (service de travail) en raison d'un accident, elle effectue son service
Biographie
Enfance et scolarité
Juliane Altehans est née le 18 mai 1920 à Vlotho en Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Fille du fabriquant de cigares Karl Altehans et de son épouse Frieda née Behrung, Juliane effectue sa scolarité dans sa ville natale. Pendant quatre années, elle fréquente l’école élémentaire, puis s’inscrit à la Höhere Stadtschule de Vlotho au début de l’année 1930. Cinq ans plus tard, elle poursuit sa scolarité dans le secondaire à l’Oberschule pour filles à Herford (sprachliche Form), où elle obtient son baccalauréat (Reifeprüfung) en février 1939. En raison d’un accident, Juliane Altehans est momentanément dans l’incapacité d’effectuer son service du travail obligatoire (arbeitsdienstuntauglich). Cependant, au cours de l’été 1939, elle est amenée à travailler, pendant une durée équivalente de six mois (Ausgleichsdienstzeit), dans une crèche (Kindergarten) gérée par le secours populaire national-socialiste (NSV) à Ennigloh près de Bünde en Westphalie[1].
Les études de médecine
En octobre 1939, une fois le service du travail obligatoire accompli, Juliane Altehans débute des études de médecine à l’université de Marburg/Lahn. En mars 1941, elle y achève le cycle dit « préclinique », en réussissant sa Ärztliche Vorprüfung. Cet examen intermédiaire de médecine, qui se déroule généralement à la fin du quatrième semestre, conclut le cycle court des études médicales et ouvre la possibilité de poursuivre le cycle long, le cursus dit « clinique ». Juliane Altehans se rend alors à l’Université d’Heidelberg, où elle n’est immatriculée que quelques mois. En effet, avec l’inauguration de la Reichsuniversität Straßburg en Alsace annexée en novembre 1941, Juliane Altehans se rend à Strasbourg pour la fin de son cursus universitaire. C’est dans cette université qu’elle prépare la rédaction d’une thèse de doctorat de médecine. De plus, au moment de la rédaction de son manuscrit en 1944, Juliane Altehans indique qu’elle « envisage, à l’été 1944, d’effectuer son Staatsexamen à Strasbourg », un examen qui qui permet au jeune diplômé de s’établir comme médecin[2].
La thèse de doctorat
Sous la direction des Professeurs H.J. Wolf du département de médecine interne de l’hôpital municipal de Bielefeld et de J. Stein, doyen de la faculté de médecine de la Reichsuniversität Straßburg, Juliane Altehans rédige une thèse de doctorat de médecine en 1944. Elle était rattachée à la fois au Département de médecine interne de l’hôpital municipal de Bielefeld, ainsi qu’à la faculté de médecine de la Reichsuniversität Straßburg et à la clinique neurologique de la même université (dirigée par le Professeur August Bostroem). Elle soutient sa thèse, intitulée « Das Krankheitsbild der Dystrophia Myotonica mit besonderer Berücksichtigung der Veränderungen des knöchernen Schädels », le 21 septembre 1944 devant les Professeurs Wolf et Stein, accompagnés du Oberarzt Wolbergs de Strasbourg[2].
Repères
Localisations
Nationalités
Confessions
Publications
- ALTEHANS Juliane, Das Krankheitsbild der Dystrophia myotonica mit besonderer Berücksichtigung der Veränderungen des knöchernen Schädels, thèse de doctorat de médecine, Strasbourg : Reichsuniversität Strassburg, 1944, 55 p.
Liens à institutions
Reichsuniversität Straβburg
Références
À propos de cette page
Rédaction : ©Laurafchs
- ↑ ALTEHANS Juliane, Das Krankheitsbild der Dystrophia myotonica mit besonderer Rücksichtigung der Veränderungen des knöchenden Schädels, thèse de doctorat de médecine, Strasbourg : Reichsuniversität Strassburg, 1944, p. 55..
- ↑ 2,0 et 2,1 ALTEHANS, Das Krankheitsbild der Dystrophia myotonica…, op. cit., p. 55..