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Josef Babillotte

De Commission Historique
Révision datée du 7 avril 2022 à 17:45 par L.strappazon (discussion | contributions) (Remplacement de texte — « Strassburg » par « Straβburg »)


Josef Babillotte
Prénom Josef
Nom Babillotte
Sexe masculin
Naissance 6 décembre 1911 (Belgershain)
Profession du père Journaliste, écrivain

These Nervenverletzungen bei Frakturen der oberen Extremität (Friedrich-Wilhelms-Universität Berlin, 1937)


Josef (ou José) Babillotte (1911-?) est un médecin et interniste allemand. Issu d’une famille d’origine alsacienne et allemande, il naît à Belgershain près de Leipzig, une petite ville où son père s’était établi après avoir quitté l’Alsace en 1910. Josef Babillotte grandit durant la Première Guerre mondiale et effectue sa scolarité sous la République de Weimar jusqu’à l’obtention du baccalauréat au début des années 1930. Il accomplit ensuite ses études de médecine sous l’Allemagne nazie et obtient l’autorisation d’exercer la médecine (Approbation) en 1937. Le 20 décembre 1937, il soutient sa thèse de doctorat de médecine à la Friedrich-Wilhelms-Universität de Berlin.

Il travaille dans un premier temps comme Volontärassistent aux côtés du Dr. Niels Poczka au service de médecine interne à l’hôpital municipal de Potsdam entre 1937 et 1939. Après le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale et la formation du Reichsgau Wartheland, il obtient un poste d’Assistenzarzt à l’hôpital de la Croix Rouge allemande de Poznań (Posen) jusqu’en 1940. Le 20 novembre 1940, environ de trois mois après sa réouverture par les Allemands, Josef Babillotte prend ses fonctions à l’hôpital civil allemand de Strasbourg. Il travaille d’abord comme Assistenzarzt, puis comme « faisant fonction d’assistant scientifique » (Verwalter einer wissenschaftlichen Assistentenstelle) à la nouvelle clinique médicale A (medizinische Abteilung A) ; faisant partie des tout premiers allemands à être nommé en Alsace, avant même l’intégration de l’hôpital à l’université (Klinische Universitätsanstalten) en avril 1941. Il poursuit ensuite sa carrière en Alsace à la Reichsuniversität Straβburg dès son inauguration en novembre 1941 et y travaille jusqu’à sa mobilisation dans la Wehrmacht à l’été 1942. Même s’il est envoyé au front, il figure jusqu’à la fin de l’existence de la Reichsuniversität Straβburg sur les listes du personnel médical de la clinique.

Après la guerre, il reprend sa carrière médicale en République Fédérale d’Allemagne. Il s’installe dans le Bade-Wurtemberg, d’abord à Hirsau, près de Calw, puis à Singen près du lac de Constance. En parallèle de son activité médicale dans son cabinet, il développe un intérêt notoire pour la cellulothérapie et envoie plusieurs « courriers de lecteurs » à la presse locale pour en vanter les effets.

Biographie

Un médecin allemand d’origine alsacienne

Josef Babillotte, de son nom de naissance Arthur José Babillotte[1], est né le 6 décembre 1911 à Belgershain, une petite ville située au sud-est de la ville de Leipzig en Saxe. Il est issu d’une famille aux origines à la fois alsaciennes et allemandes. Son père, Arthur Babillotte, né le 20 janvier 1887 à Neuenkirch-lès-Sarreguemines en Moselle et mort le 30 octobre 1916 à Leutenberg en Thuringe était un journaliste et écrivain dont les parents étaient originaires du centre-Alsace. Lui-même fils d’un ingénieur du génie rural, Arthur Babillotte effectue sa scolarité en Alsace rattachée au Reichsland Elsass-Lothringen depuis le Traité de Francfort de 1871. Élève médiocre, il fréquente l’école de Molsheim et le collège de Sélestat, mais n’obtient pas son baccalauréat. Dès 1906, il débute une carrière de journaliste, d’abord à Colmar, où il finit par diriger l’hebdomadaire Der Elsässer Erzähler. Il travaille également comme rédacteur à l’Elsässer Tageblatt de Colmar, puis se rend à Mulhouse et en Allemagne avant de regagner la ville de Sélestat où, sans emploi, il commence à écrire son premier roman[2].

Arthur Babillotte quitte ensuite l’Alsace allemande pour s’installer en Saxe, près de Leipzig, où il fonde alors une famille. En mai 1910, il épouse à Leipzig Maria Kirst, née le 28 février 1888 à Leipzig et décédée le 17 juillet 1971 à Lörrach, la fille d’un imprimeur. De leur union naissent trois enfants à Belgershain : René, le 10 septembre 1910 (artiste), José ou Josef, le 6 décembre 1911 (médecin) et Eva, le 28 août 1913 (infirmière). Le père poursuit ensuite son activité d’écrivain et consacre de nombreux romans dont plusieurs ont pour cadre l’Alsace. Néanmoins, plusieurs récits de guerre, publiés entre 1915 et 1916 semblent être l’expression du ralliement de cet Allemand d’origine alsacienne et mosellane à l’Allemagne wilhelmienne[2].


Les études de médecine et le début de la carrière médicale

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Josef Babillotte grandit sous le régime de la République de Weimar et fréquente le secondaire jusqu’à l’obtention de son baccalauréat au début des années 1930. Il débute ensuite des études de médecine et s’immatricule notamment à la Friedrich-Wilhelms-Universität de Berlin. Il semble par ailleurs qu’en 1935, au cours de ses études de médecine, Josef Babillotte entre dans la SA et devient membre de la SA-Standarte 245 de Leipzig[3].

En 1937, Josef Babillotte obtient également son Approbation, c’est-à-dire l’autorisation d’exercer la médecine[4]. Il obtient un poste de Volontärassistent à l’hôpital municipal de la ville de Potsdam (städtisches Krankenhaus) et travaille au service de médecine interne placé sous la direction du Dr. Niels Poczka[5].

En parallèle, Josef Babillotte entreprend de parachever son cursus universitaire à la faculté de médecine de Berlin en soutenant le 20 décembre 1937, à l’âge de vingt-six ans, une thèse de doctorat de médecine intitulée « Lésions nerveuses dans les cas de fractures des extrémités des membres supérieurs » (Nervenverletzungen bei Frakturen der oberen Extremität)[6]. Une fois devenu docteur, il poursuit ensuite sa carrière à l’hôpital de Potsdam au moins jusqu’en 1939[5]. Il se consacre encore à des activités de recherches et publie notamment un article scientifique sur « le traitement médicamenteux de la dystonie végétative » dans la revue Fortschritte der Therapie[7]. À la suite de l’annexion de la Pologne en septembre 1939 au territoire du IIIe Reich et de la formation du Reichsgau Wartheland, Josef Babillotte est nommé Assistenzarzt à l’hôpital de la Croix Rouge allemande (DRK-Krankenhaus) de la ville de Poznań (en allemand Posen) en 1940[8].


La carrière médicale à l’hôpital civil de Strasbourg en Alsace annexée et le service dans l’armée (1940-1945)

À la fin de l’année 1940, Josef Babillotte quitte le Warthegau et son poste à l’hôpital de la Croix Rouge allemande de Poznań pour rejoindre l’Alsace, la région d’origine de son père. À la suite de l’armistice de Compiègne du 22 juin 1940, l’Alsace avait été annexée de facto au territoire du Reich nazi, étant dès lors intégré au Gau Oberrhein. À peine trois mois après la réouverture de l’hôpital civil de Strasbourg, Josef Babillotte prend son service à la clinique médicale A (la future Abteilung II de la Medizinische Klinik) dès sa création le 20 novembre 1940. En effet, dans une lettre d’information du 26 novembre 1940, le directeur général des hospices civils de Strasbourg, Josef Oster, informe le Medizinalrat de la Gauleitung, le Dr. Walther, que « Messieurs les docteurs Josef Babillotte et [Paul] Mathis (Hoerdt) ont pris leur service à la medizinische Abteilung A le 20 novembre 1940 en qualité d’Assistenzarzt. Les docteurs Risser (Colmar) et Uhl (Mulhouse) ont rejoint la même clinique le 25 novembre 1940 »[9]. Au départ, il est le seul médecin allemand de l’équipe de la clinique médicale A, placée sous la direction du Dr. Paul Meyer. Par la suite, c’est le Dozent allemand Gunnar Berg qui assure la direction de la clinique médicale A, rebaptisée Medizinische Abteilung II, comptant toujours une majorité d’Alsaciens dans ses rangs[10].

Josef Babillotte poursuit sa carrière à l’hôpital civil de Strasbourg intégré au 1er avril 1941 parmi les établissements hospitalo-universitaires (Klinische Universitätsanstalten) dans une période de transition et de préparatifs en vue de la création de la Reichsuniversität Straβburg. Le mois précédent, en mars 1941, Babillotte avait obtenu le statut de « faisant fonction d’assistant scientifique » (Verwalter einer wissenschaftlichen Assistentenstelle), un titre qu’il conserve encore après l’inauguration de la Reichsuniversität Straβburg en novembre 1941[11]. Désormais, la Medizinische Abteilung II (Médicale A), qui dépend de l’ensemble de la clinique médicale du professeur Johannes Stein, fait partie intégrante d’une université pensée, conçue et voulue comme un modèle du IIIe Reich[12]. Il reste attaché à la clinique jusqu’à la fin de l’existence de la Reichsuniversität Straβburg en Alsace annexée en novembre 1944 en redevenant Assistenzarzt en août 1942[13], à une époque où il se trouve en réalité mobilisé dans l’armée allemande.

En effet, dès le 1er juillet 1942, Josef Babillotte figure sur les listes du personnel médical de la Reichsuniversität Straβburg comme étant « actuellement au front » (zur Zeit im Felde). Jusqu’en novembre 1944, c’est-à-dire jusqu’à l’évacuation de l’université nazie outre-Rhin, Babillotte est mobilisé dans l’armée allemande et fait partie de la dizaine de médecins des cliniques médicales (A, B et Polyclinique) qui se trouvent au front tout en restant attachés, administrativement, à la Reichsuniversität Straβburg. On remarque que ce rattachement organique perdure jusqu’au printemps 1945, puisque dans l’annuaire du personnel de l’université repliée en date du 26 mars 1945, le recteur Schrade indique le Dr. Josef Babillotte se trouvait « actuellement affecté dans la Wehrmacht ». En outre, on apprend également que son épouse s’était installée à Göppingen, au Gustav-Adolf-Straße 1[14].


L’après-guerre : médecin à Singen en République fédérale d’Allemagne

Ayant survécu à la guerre, à laquelle il a participé pendant près de trois ans dans les rangs de la Wehrmacht, Josef Babillotte retrouve la vie civile après 1945. Jusqu’à la fin des années 1960, il s’installe d’abord à Hirsau, une petite ville du Bade-Wurtemberg située près de la ville de Calw (dont elle est aujourd’hui l’un des quartiers depuis 1975), au nord de la Forêt Noire. Au début des années 1970, il déménage à Singen (Hohentwiel), une ville du Bade-Wurtemberg située près du lac de Constance dans le sud-ouest de République fédérale d’Allemagne. Il installe son cabinet médical à l’ouest de la ville, dans un immeuble situé au Schlachthausstraße 1. Actif dans le domaine médical, il publie notamment en 1960 un ouvrage intitulé Heilung und Verjüngen durch Frischzellen nach Prof. Dr. P. Niehans et qui a été réédité à deux reprises, en 1966 et en 1972. Il s’intéresse ainsi tout particulièrement à la cellulothérapie, un traitement mis au point en 1931 et développé par un médecin suisse, Paul Niehans (1882-1971), qui est à l’origine de ce traitement caractérisé par l’injection de cellules fraîches dans l’organisme[15]. Josef Babillotte adresse également à plusieurs reprises des « courriers des lecteurs » à la presse locale ou à la presse médicale pour partager son expérience ou afficher sa prise de position sur divers sujets.

En 1961, il prend par exemple position contre un procureur à l’occasion du scandale médical dans lequel le Dr. Joseph Issels (1907-1998) est mis en accusation et condamné à la suite des traitements alternatifs qu’il proposait à des patients ayant des cancers jugés incurables[16]. Babillotte vante également la qualité d’un article publié dans le journal Der Spiegel sur le sommeil et apporte certaines précisions qui témoignent de son intérêt pour la recherche médicale ayant trait au cerveau[17]. En 1973 et en 1980, il adresse deux courriers au journal Der Spiegel pour défendre l’usage de la cellulothérapie mise en avant par le professeur Niehans. Dans l’un, il l’applique au traitement de l’impuissance[18] et dans l’autre à celui des migraines, expliquant dans ce dernier qu’avec l’« administration de jeunes cellules animales (veau ou mouton) […], on arrive à harmoniser le métabolisme de la zone du diencéphale (Stoffwechsel des Wischenhirngebietes) et à éliminer les migraines »[19]. Enfin, l’un de ses témoignages sur l’utilisation du persil (Petersilie) pour soigner le mal de mer a été publié dans le Deutsches Ärzteblatt en 1976[20]. Josef Babillotte poursuit vraisemblablement sa carrière médicale jusque dans les années 1980, la date de son décès n’ayant pas encore été déterminée[21].


Vie privée

Vers 1940, Josef Babillotte épouse l’une de ses consœurs, Gertrud Wendler, née le 18 septembre 1900 à Leipzig. Après avoir soutenu une thèse de doctorat de médecine le 29 octobre 1925, Gertrud avait obtenu son Approbation l’année suivante. Entre 1936 et 1937, elle occupait un poste d’Assistenzärztin au Horst-Wessel-Krankenhaus à Berlin, avant d’obtenir sa certification de spécialisation en pédiatrie le 30 octobre 1939 (Anerkennung als Fachärztin für Kinderheilkunde). Elle travaille ensuite comme niedergelassene Ärztin, puis comme Kassenärztin. Elle est également nommée à l’hôpital de la Charité à Berlin, puis à celui de Klein Machnow, un quartier de la ville de Potsdam. Mariée une première fois, elle épouse Josef Babillotte en secondes noces, probablement à Potsdam. Finalement, en juin 1941, elle rejoint son mari à Strasbourg, et reprend visiblement ses activités médicales avant d’être rayée de l’Ordre des médecins du Reich le 8 avril 1943 (aus der Liste der Reichsärztekartei gestrichen) pour une raison encore inconnue[22].


Publications de Josef Babillotte

Josef Babillotte, Nervenverletzungen bei Frakturen der oberen Extremität, Berlin, Friedrich-Wilhelms-Universität, 1937, 53 p.

Josef Babillotte, « Zur medikamentösen Behandlung der vegetativen Dystonien », Fortschritte der Therapie, n°15, Heft 1, 1939, p. 15-20.


Repères

Localisations

Nationalités

  • Allemand

Confessions

Publications

Liens à institutions

Krankenhaus vom Deutschen Roten-Kreuz, Posen

Wehrmacht

Medizinische Abteilung II, RUS

Innere Abteilung, Städtisches Krankenhaus Potsdam

Medizinische Abteilung A, BürgS

Friedrich-Wilhelms-Universität Berlin

Universität Berlin

1911-12-06T00:00:00Z
Vie privée
Naissance
1937-01-01T00:00:00Z
Vie privée
Thèse
1939-01-01T00:00:00Z
1940-01-01T00:00:00Z
Carrière
1937-01-01T00:00:00Z
1939-01-01T00:00:00Z
Carrière
1940-11-20T00:00:00Z
1941-02-01T00:00:00Z
Carrière
1941-03-01T00:00:00Z
1942-07-01T00:00:00Z
Carrière
Medizinische Abteilung II, RUS, Verwalter einer wissenschaftlichen Assistentenstelle,
1942-08-01T00:00:00Z
1944-11-01T00:00:00Z
Carrière
1942-07-01T00:00:00Z
1945-01-01T00:00:00Z
Carrière
Wehrmacht, Soldat,
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Références



  1. Il existe plusieurs graphies du patronyme Babillotte (écrit parfois Babillote ou Babilotte dans certains documents de la période nazie), mais nous utilisons ici la forme officielle, employée notamment par Josef lui-même. De plus, en ce qui concerne son prénom de naissance, il convient de préciser que le prénom de José est utilisé par le principal intéressé que dans la première partie de sa vie. S’il l’emploie encore dans les années 1930 sous le régime national-socialiste, il ne se présente ensuite que sous le prénom Josef, tant durant son activité à la Reichsuniversität Straβburg qu’après la guerre.
  2. 2,0 et 2,1 André Stehlé, Maurice Kubler, « Babillotte Arthur », Notice NetBDA, Fédération des sociétés d’histoire et d’archéologie d’Alsace, https://www.alsace-histoire.org/netdba/babillotte-arthur/, [en ligne], consulté le 25 mai 2021.
  3. BArch, BS 1009 (NS 23)/ Obj. 13 ZA 02060, Dossier de J. Babillotte.
  4. Hermann Lautsch, Hans Dornedden, Verzeichnis der Deutschen Ärzte und Heilanstalten, Verzeichnis der Ärzte in den Gauen Danzig-Westpreußen und Wartheland sowie in dem neu eingegliederten Ost-Oberschlesien, Nachtrag zum Ärzteverzeichnis 1937 (vormals Reichs-Medizinal-Kalender für Deutschland, Teil II), Leipzig, Georg Thieme, avril 1941, p. 12.
  5. 5,0 et 5,1 Hermann Lautsch, Hans Dornedden, Verzeichnis der Deutschen Ärzte und Heilanstalten, Reichs-Medizinal-Kalender für Deutschland, Teil II, Nachtrag 2 zum Ärzteverzeichnis 1937, Leipzig, Georg Thieme, , octobre 1938, p. 8 et 225.
  6. Josef Babillotte, Nervenverletzungen bei Frakturen der oberen Extremität, Berlin, Friedrich-Wilhelms-Universität, 1937, 53 p. Voir aussi New York Academy of Medicine Collection of International Medical Theses, Box 18:1:1:33, Berlin, France (H00449889), via http://archives.hsl.unc.edu/nyamtheses/nyamcovers/H00449889.pdf, [en ligne], consulté le 23 mai 2021. Voir aussi United States Department of Health, Education and Welfare, Public Health Service, Index-Catalogue of the Library of the Surgeon General’s Office, National Library of Medicine, fifth Series, vol. 1, Authors and Titles, Washington, United States Government printing office, 1959, p. 31.
  7. Josef Babillotte, « Zur medikamentösen Behandlung der vegetativen Dystonien », Fortschritte der Therapie, n°15, cahier 1, 1939, p. 15-20. Voir également Zentrallblatt für die gesamte Neurologie und Psychiatrie, vol. 93-94, 1939, p. 349 ; Ciba Zeitschrift, vol. 7, 1939, p. 2673.
  8. Hermann Lautsch, Hans Dornedden, Verzeichnis der Deutschen Ärzte und Heilanstalten, Verzeichnis der Ärzte in den Gauen Danzig-Westpreußen und Wartheland sowie in dem neu eingegliederten Ost-Oberschlesien, Nachtrag 5 zum Ärzteverzeichnis 1937(vormals Reichs-Medizinal-Kalender für Deutschland, Teil II), Leipzig, Georg Thieme, , avril 1941, p. 12.
  9. AVES, 7 AH 14, Lettre du Generaldirektor der zivilhospizien au Medizinalrat Dr. Walther, 26 novembre 1940.
  10. AVES, 7 AH 14, et 7 AH 15 et ADBR, 126 AL 37, dossier n°4, Listes du personnel médical de la Reichsuniversität Straβburg, 1940-1944.
  11. AVES, 7 AH 14, Liste du personnel médical de la Reichsuniversität Straβburg, mars 1941. AVES, 7 AH 15 et ADBR, 126 AL 37, dossier n°4, Listes du personnel médical de la Reichsuniversität Straβburg, 1941-1942.
  12. Hermann Lautsch, Hans Dornedden, Verzeichnis der deutschen Ärzte und Heilanstalten in den Westgebieten Elsaß, Lothringen und Luxemburg sowie im General-Gouvernement und im Protektorat Böhmen und Mähren mit Anhang: Karpatendeutsche Ärzte in der Slowakei (vormals Reichs-Medizinal-Kalender für Deutschland, Teil II), Leipzig, Georg Thieme, , février 1942, p. 24.
  13. AVES, 7 AH 15 et ADBR, 126 AL 37, dossier n°4, Listes du personnel médical de la Reichsuniversität Straβburg, 1942-1944.
  14. BArch B, R76-IV/27, Annuaire du personnel de la Reichsuniversität Straβburg repliée à Tübingen, 26 mars 1945.
  15. Josef Babillotte, Heilung und Verjüngung durch Frischzellen nach Prof. Dr. P. Niehans, Thun, Ott, 1960, 100 p. Sur Paul Niehans, voir par exemple Eberhard Wolff, « Niehans, Paul », Historisches Lexikon der Schweiz (HLS), disponible sur https://hls-dhs-dss.ch/de/articles/014571/2009-08-06/, [en ligne], consulté le 25 mai 2021 et Eberhard Wolff, « Vor 50 Jahren : Paul Niehans bringt den Begriff "Zellulartherapie" in die Öffentlichkeit », Schweizerische Ärztezeitung, vol. 83, n°32-33, 2002, p. 1726 sqq., disponible sur https://saez.ch/archiv/ausgabenarchiv, [en ligne], consulté le 25 mai 2021, ainsi que Laetitia Simon, « L’ère du docteur Niehans », Clinique de la Prairie, https://inside.magnum3.ch/article/lere-du-docteur-niehans/23, [en ligne], consulté le 25 mai 2021.
  16. Der Spiegel, 22 août 1961. Disponible via https://www.spiegel.de/politik/schulfrei-a-79aa5f79-0002-0001-0000-000043365639, [en ligne], consulté le 25 mai 2021.
  17. Der Spiegel, 13 octobre 1968. Disponible via https://www.spiegel.de/politik/am-boden-des-gehirns-a-f48de283-0002-0001-0000-000045949982, [en ligne], consulté le 25 mai 2021.
  18. Der Spiegel, 6 mai 1973. Disponible via https://www.spiegel.de/politik/osterbotschaft-a-34d8b555-0002-0001-0000-000042602343, [en ligne], consulté le 25 mai 2021.
  19. Der Spiegel, 7 décembre 1980. Disponible via https://www.spiegel.de/politik/ins-bett-a-bd406e02-0002-0001-0000-000014333712, [en ligne], consulté le 25 mai 2021.
  20. Deutsches Ärzteblatt, Heft 3, 15 janvier 1976, p. 121. Disponible via https://cdn.aerzteblatt.de/pdf/73/3/a115.pdf, [en ligne], consulté le 25 mai 2021. Dans ce courrier des lecteurs, le Dr. Babillotte fait part d’une observation faite à l’occasion d’un voyage en Italie, où il a vu qu’on avait donné à de jeunes marins un petit bouquet de persil que ces derniers avaient placé sur leur poitrine pour combattre le mal de mer. Il a pu voir que ce remède fonctionnait très bien et souhaitait ainsi en faire profiter la communauté médicale : « comme ce procédé est extrêmement pratique, peu coûteux et facilement réalisable et qu’il est en outre exempt d’effets secondaires, je souhaiterais suggérer qu’on en fasse usage, dans des cas similaires, notamment chez les enfants, de ce remède simple et efficace chez les marins ».
  21. On remarque enfin qu’il fournit des renseignements à André Stehlé et Maurice Kubler en 1983 quand ces derniers préparent la notice biographique de son père dans le cadre des travaux de la Fédération des sociétés d’histoire et d’archéologie d’Alsace. À ce moment-là, les deux historiens le présentent comme un « médecin à Singen ». Voir https://www.alsace-histoire.org/netdba/babillotte-arthur/, [en ligne], consulté le 25 mai 2021.
  22. Voir tout particulièrement la notice biographique : « Gertrud Babilotte, geb. Wendler, ID-AEIK01102 », Dokumentation „Ärztinnen im Kaiserreich“, Institut für Geschichte der Medizin und Ethik in der Medizin, Charité, Universitätsmedizin Berlin, disponible via http://geschichte.charité.de/aeik/, [en ligne], consulté le 25 mai 2021.