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Différences entre les versions de « Paul Buck »

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|Profession=Médecin
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|Specialite=Chirurgie; Chirurgie infantile; Chirurgie orthopédique
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|Resume_fr=Paul Buck (1915-1998) est un médecin et chirurgien né en Alsace durant la Première Guerre mondiale. Avec son frère aîné Frédéric (1913-2006), également devenu chirurgien à la faculté de médecine de Strasbourg et à la Reichsuniversität Strassburg, Paul Buck grandit en Alsace effectue ses études de médecine de 1933 à 1939. En novembre 1936, il réussit le concours d’externat des hôpitaux et commence aussitôt à travailler successivement dans les cliniques chirurgicale A, médicale A, neurologique et infantile, obtenant en même temps un poste de moniteur, puis d’aide d’anatomie. En novembre 1938, il est reçu troisième au concours d’internat des hôpitaux et travaille en tant que tel à la clinique médicale B jusqu’à la fin de ses études et le déclenchement de la guerre. Mobilisé dans l’armée, il ne parvient pas à préparer et à soutenir sa thèse de doctorat de médecine, mais sert comme sous-officier du corps médical, vraisemblablement à Clairvivre (Dordogne), où s’était replié l’hôpital civil de Strasbourg.
|Resume_fr=Paul Buck (1915-1998) est un médecin et chirurgien né en Alsace durant la Première Guerre mondiale. Avec son frère aîné Frédéric (1913-2006), également devenu chirurgien à la faculté de médecine de Strasbourg et à la ''Reichsuniversität Strassburg'', Paul Buck grandit en Alsace effectue ses études de médecine de 1933 à 1939. En novembre 1936, il réussit le concours d’externat des hôpitaux et commence aussitôt à travailler successivement dans les cliniques chirurgicale A, médicale A, neurologique et infantile, obtenant en même temps un poste de moniteur, puis d’aide d’anatomie. En novembre 1938, il est reçu troisième au concours d’internat des hôpitaux et travaille en tant que tel à la clinique médicale B jusqu’à la fin de ses études et le déclenchement de la guerre. Mobilisé dans l’armée, il ne parvient pas à préparer et à soutenir sa thèse de doctorat de médecine, mais sert comme sous-officier du corps médical, vraisemblablement à Clairvivre (Dordogne), où s’était replié l’hôpital civil de Strasbourg.


Fait prisonnier par les Allemands, il est rapidement libéré du camp de prisonniers de guerre et obtient un poste de chirurgien à la clinique chirurgicale de l’hôpital civil allemand de Strasbourg dès le 15 juillet 1940. Au cœur d’une Alsace annexée de fait par le IIIe Reich, Paul Buck poursuit sa carrière médicale et scientifique au sein des hospices civils (1940-1941), puis de la Reichsuniversität Strassburg (1941-1942), gagnant la confiance du nouveau régime. Cependant, après avoir célébré la Fête nationale française le 14 juillet 1942, Paul Buck est frappé d’une mesure punitive par les autorités nazies, qui décident de l’envoyer dans le Reich en septembre 1942 pour quelques mois afin de le « rééduquer » et le gagner à la cause nationale-socialiste. Voulant se soustraire à la Notdienstverpflichtung, une sorte de service médical obligatoire qui a touché de nombreux médecins Alsaciens et Mosellans, Buck émigre et fuit en France, d’où il regagne manifestement l’Afrique du nord (et donc probablement la Résistance).
Fait prisonnier par les Allemands, il est rapidement libéré du camp de prisonniers de guerre et obtient un poste de chirurgien à la clinique chirurgicale de l’hôpital civil allemand de Strasbourg dès le 15 juillet 1940. Au cœur d’une Alsace annexée de fait par le IIIe Reich, Paul Buck poursuit sa carrière médicale et scientifique au sein des hospices civils (1940-1941), puis de la ''Reichsuniversität Strassburg'' (1941-1942), gagnant la confiance du nouveau régime. Cependant, après avoir célébré la Fête nationale française le 14 juillet 1942, Paul Buck est frappé d’une mesure punitive par les autorités nazies, qui décident de l’envoyer dans le Reich en septembre 1942 pour quelques mois afin de le « rééduquer » et le gagner à la cause nationale-socialiste. Voulant se soustraire à la ''Notdienstverpflichtung'', une sorte de service médical obligatoire qui a touché de nombreux médecins Alsaciens et Mosellans, Buck émigre et fuit en France, d’où il regagne manifestement l’Afrique du nord (et donc probablement la Résistance).


De retour à Strasbourg à la Libération, Paul Buck reprend ses fonctions à la clinique chirurgicale A redevenue partie intégrante de l’université française de Strasbourg. Collaborateur de René Fontaine, il occupe d’abord un poste de chef de clinique de 1946 à 1949, termine son cursus universitaire en soutenant sa thèse de doctorat en juin 1947, avant de devenir agrégé de chirurgie générale pendant neuf ans, entre 1949 et 1958. Exerçant pendant quelques temps une activité libérale et opérant dans les cliniques privées ou confessionnelles strasbourgeoises, Paul Buck occupe ensuite la fonction de directeur du centre de traumatologie de Strasbourg entre 1963 et 1967. En avril 1967, il est nommé professeur titulaire de la chaire de clinique chirurgicale des enfants créée sur mesure pour lui, et dirige également le service de chirurgie infantile au CHU de Strasbourg. Professeur pendant plus de dix-sept ans, encadrant quarante-cinq travaux de doctorats de médecine, il finit par prendre sa retraite le 30 septembre 1984, après une vie entièrement consacrée à la santé publique, à la médecine, à la chirurgie, à la recherche et à l’enseignement, ce qui lui a valu plusieurs distinctions honorifiques, parmi lesquelles la Légion d’honneur (chevalier, 1974) et que les Palmes académiques (chevalier, 1959 ; officier, 1969).
De retour à Strasbourg à la Libération, Paul Buck reprend ses fonctions à la clinique chirurgicale A redevenue partie intégrante de l’université française de Strasbourg. Collaborateur de René Fontaine, il occupe d’abord un poste de chef de clinique de 1946 à 1949, termine son cursus universitaire en soutenant sa thèse de doctorat en juin 1947, avant de devenir agrégé de chirurgie générale pendant neuf ans, entre 1949 et 1958. Exerçant pendant quelques temps une activité libérale et opérant dans les cliniques privées ou confessionnelles strasbourgeoises, Paul Buck occupe ensuite la fonction de directeur du centre de traumatologie de Strasbourg entre 1963 et 1967. En avril 1967, il est nommé professeur titulaire de la chaire de clinique chirurgicale des enfants créée sur mesure pour lui, et dirige également le service de chirurgie infantile au CHU de Strasbourg. Professeur pendant plus de dix-sept ans, encadrant quarante-cinq travaux de doctorats de médecine, il finit par prendre sa retraite le 30 septembre 1984, après une vie entièrement consacrée à la santé publique, à la médecine, à la chirurgie, à la recherche et à l’enseignement, ce qui lui a valu plusieurs distinctions honorifiques, parmi lesquelles la Légion d’honneur (chevalier, 1974) et que les Palmes académiques (chevalier, 1959 ; officier, 1969).

Version du 5 avril 2024 à 12:31


Paul Buck
Prénom Paul
Nom Buck
Sexe masculin
Naissance 24 mai 1915 (Ittenheim)
Décès 24 juin 1998 (Strasbourg)
Profession du père Maître-boucher

These Contribution à l’étude de la coagulation sanguine par des recherches sur la plaquettose dans les artérites oblitérantes (Université de Strasbourg, UdS, post-1945, 1947)
Directeur de thèse René Fontaine
Profession Médecin

Titre Prof. Dr. med.

Spécialités Chirurgie, Chirurgie infantile, Chirurgie orthopédique


Paul Buck (1915-1998) est un médecin et chirurgien né en Alsace durant la Première Guerre mondiale. Avec son frère aîné Frédéric (1913-2006), également devenu chirurgien à la faculté de médecine de Strasbourg et à la Reichsuniversität Strassburg, Paul Buck grandit en Alsace effectue ses études de médecine de 1933 à 1939. En novembre 1936, il réussit le concours d’externat des hôpitaux et commence aussitôt à travailler successivement dans les cliniques chirurgicale A, médicale A, neurologique et infantile, obtenant en même temps un poste de moniteur, puis d’aide d’anatomie. En novembre 1938, il est reçu troisième au concours d’internat des hôpitaux et travaille en tant que tel à la clinique médicale B jusqu’à la fin de ses études et le déclenchement de la guerre. Mobilisé dans l’armée, il ne parvient pas à préparer et à soutenir sa thèse de doctorat de médecine, mais sert comme sous-officier du corps médical, vraisemblablement à Clairvivre (Dordogne), où s’était replié l’hôpital civil de Strasbourg.

Fait prisonnier par les Allemands, il est rapidement libéré du camp de prisonniers de guerre et obtient un poste de chirurgien à la clinique chirurgicale de l’hôpital civil allemand de Strasbourg dès le 15 juillet 1940. Au cœur d’une Alsace annexée de fait par le IIIe Reich, Paul Buck poursuit sa carrière médicale et scientifique au sein des hospices civils (1940-1941), puis de la Reichsuniversität Strassburg (1941-1942), gagnant la confiance du nouveau régime. Cependant, après avoir célébré la Fête nationale française le 14 juillet 1942, Paul Buck est frappé d’une mesure punitive par les autorités nazies, qui décident de l’envoyer dans le Reich en septembre 1942 pour quelques mois afin de le « rééduquer » et le gagner à la cause nationale-socialiste. Voulant se soustraire à la Notdienstverpflichtung, une sorte de service médical obligatoire qui a touché de nombreux médecins Alsaciens et Mosellans, Buck émigre et fuit en France, d’où il regagne manifestement l’Afrique du nord (et donc probablement la Résistance).

De retour à Strasbourg à la Libération, Paul Buck reprend ses fonctions à la clinique chirurgicale A redevenue partie intégrante de l’université française de Strasbourg. Collaborateur de René Fontaine, il occupe d’abord un poste de chef de clinique de 1946 à 1949, termine son cursus universitaire en soutenant sa thèse de doctorat en juin 1947, avant de devenir agrégé de chirurgie générale pendant neuf ans, entre 1949 et 1958. Exerçant pendant quelques temps une activité libérale et opérant dans les cliniques privées ou confessionnelles strasbourgeoises, Paul Buck occupe ensuite la fonction de directeur du centre de traumatologie de Strasbourg entre 1963 et 1967. En avril 1967, il est nommé professeur titulaire de la chaire de clinique chirurgicale des enfants créée sur mesure pour lui, et dirige également le service de chirurgie infantile au CHU de Strasbourg. Professeur pendant plus de dix-sept ans, encadrant quarante-cinq travaux de doctorats de médecine, il finit par prendre sa retraite le 30 septembre 1984, après une vie entièrement consacrée à la santé publique, à la médecine, à la chirurgie, à la recherche et à l’enseignement, ce qui lui a valu plusieurs distinctions honorifiques, parmi lesquelles la Légion d’honneur (chevalier, 1974) et que les Palmes académiques (chevalier, 1959 ; officier, 1969).

Biographie

Repères

Localisations

Nationalités

Confessions

Publications

  • BUCK Paul, Contribution à l’étude de la coagulation sanguine par des recherches sur la plaquettose dans les artérites oblitérantes, thèse de doctorat de médecine, réalisée sous la direction du professeur René Fontaine, 1947.
  • FONTAINE René, ARON Max, BUCK Paul, « Réaction sérologique de diagnostic du cancer (les résultats statistiques) », Schweizerische medizinische Wochenschrift, n°79, 1949, p. 227-230.
  • BUCK Paul, SAUVAGE Paul, Chirurgie infantile : D.C.E.M. 2, Strasbourg, Amicale des étudiants en médecine de Strasbourg, 1977.
  • BUCK Paul, SAUVAGE Paul, Chirurgie infantile : D.C.E.M. 2, Strasbourg, Amicale des étudiants en médecine de Strasbourg, 1978.

Liens à institutions

Université de Strasbourg, UdS, post-1945

1915-05-24T00:00:00Z
Vie privée
Naissance
1998-06-24T00:00:00Z
Vie privée
Décès
1947-01-01T00:00:00Z
Vie privée
Thèse
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Références

  • ADBR, 1558 W 93, dossier n°7502 (Paul Buck)
  • ADBR, 4E225/4, État civil d’Ittenheim, Acte de mariage de Carl Buck et Barbara Hamm, Acte n°2/1876.
  • ADBR, 4E225/4 et 4E225/6, État civil d’Ittenheim, Registre des naissances, Actes n°26/1876, n°25/1878, n°28/1879, n°23/1882, n°44/1886 et n°11/1890.
  • ADBR, 4E506/6, État civil d’Ittenheim, Acte de naissance de Maria Siess, acte n° 26/1888.
  • ADBR, 4E225/6, État civil d’Ittenheim, Acte de naissance de Charles Buck, acte n° 11/1890.
  • ADBR, 4E482/1282, État civil de Strasbourg, Table des mariages, mariage de P. Buck, Acte n°828/1945.
  • ADBR, 4E900/52, État civil d’Ittenheim, Table des naissances (1913-1922), Acte n°22/1913.
  • ADBR, 4E900/52, État civil d’Ittenheim, Table des naissances (1913-1922), Acte n°6/1915.
  • ADBR, 126 AL 37, dossier 1.
  • ADBR, 126 AL 37, dossier n°4, Ärzteverzeichnis der klinischen Universitäts-Anstalten Strassburg (1941-1943).
  • ADBR, 126 AL 37, dossier n°4, Meldung über die Zahl der in unserem Klinikum beschäftigten Assistenzärzte und Ärztinnen (1942).
  • ADBR, 126 AL 114, dossier n°10, Liste des ärztlichen Personals des Bürgerspitals, Stand vom 15. August 1940.
  • « Verordnung über die klinischen Anstalten der Universität Straßburg vom 031. März 1941 », in Verordnungsblatt des Chefs der Zivilverwaltung im Elsass, n°12, 4 avril 1941, p. 242.
  • Reichsuniversität Strassburg, Personal- und Vorlesungsverzeichnis, Sommer-Semester 1942, Strasbourg, Heitz & Co., 1942, p. 32
  • LAUTSCH H., DORNEDDEN H. (dir.), Verzeichnis der deutschen Ärzte und Heilanstalten (vormals Reichs-Medizinal-Kalender für Deutschland, Teil II), Nachtrag 8 zum Ärzteverzeichnis 193, Leipzig, Georg Thieme Verlag, 1942.
  • Archives de la faculté de médecine de Strasbourg, dossier administratif de Paul Buck, carte nominative.
  • Archives municipales d’Ittenheim, Acte de naissance de Charles Buck (père), acte n°19/1850.
  • Centre national des archives historiques, BB/31/508-510, BB/31/531, Répertoire des Alsaciens-Lorrains ayant opté pour la nationalité allemande (1872-1873) : « Buck (Charles) né le 27 novembre 1850 à Ittenheim (Bas-Rhin) zouave au 2e régiment, date d’option : 3 juin 1872 domicile : Oran (Algérie) ». Disponible via http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/chan/chan/pdf/sm/BB31%20508-510%20et%20531.pdf, [en ligne], consulté le 15 mars 2021.
  • CHATELUS Didier, Certificats d’aptitudes aux grades universitaires (1810-1905), Professions de santé (médecins, officiers de santé, chirurgiens-dentistes, pharmaciens), Répertoire numérique des articles F/17/6084 à F/17/6570, Archives nationales, dossier réalisé sous la direction d’Anne Lejeune, 1993, p. 2-3 . Disponible via : http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/chan/chan/pdf/sm/F17%206084-6570.pdf, [en ligne], consulté le 26 janvier 2021.
  • DELANEAU Jean, Avis présenté au nom de la commission des affaires culturelles sur le projet de loi adopté par l’Assemblée Nationale après déclaration d’urgence, portant diverses mesures d’ordre social, présenté par M. Jean Delaneau, Sénateur, Sénat, Seconde session ordinaire de 1986-1987, Annexe au procès-verbal de la séance du 18 juin 1987, n°298, p. 5-8. On renvoie ici à la première partie (les dispositions relatives aux études médicales) et plus précisément à la section I (rappel historique) et au titre I (l’organisation des études médicales avant la réforme de 1958). Disponible en ligne sur le site du Sénat via : https://www.senat.fr/rap/1986-1987/i1986_1987_0298.pdf, [en ligne], consulté le 26 janvier 2021.
  • DORNER Marc, JAHN Henri, « Clinique médicale B : l’essor », in Jacques Héran, Histoire de la médecine à Strasbourg, Strasbourg, La Nuée Bleue, 1997, p. 518.
  • DORNER Marc, JAHN Henri, « Clinique médicale B : un haut-lieu de la médecine interne », in Jacques Héran, Histoire de la médecine à Strasbourg, Strasbourg, La Nuée Bleue, 1997, p. 684-685.
  • GRANDHOMME Jean-Noël, « La "mise au pas" (Gleichschaltung) de l’Alsace-Moselle en 1940-1942 », Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande, n°46-2, 2014, p. 443-465.
  • HERAN Jacques, Histoire de la médecine à Strasbourg, Strasbourg, La Nuée Bleue, 1997.
  • HOLLENDER Louis-François, DURING-HOLLENDER Emmanuelle, « Anmerkungen zur Geschichte der Chirurgie in Strassburg », Zentralblatt für Chirurgie, vol. 126, n°7, 2001.
  • HOLLENDER Louis-François, « Quand la clinique chirurgicale était dirigée depuis la Chirurgie B », in Jacques Héran (dir.), Histoire de la médecine à Strasbourg, Strasbourg, La Nuée Bleue, 1997, p. 609.
  • KEMPF Ivan, PINELLI Janine, « La clinique des Assurances sociales devient le Centre de traumatologie », in Jacques Héran (dir.), Histoire de la médecine à Strasbourg, Strasbourg, La Nuée Bleue, 1997, p. 728-729.
  • KEMPF Ivan, KEHR Pierre, KARGER Claude, CLAVRET Jean-Michel, « Histoire de l’orthopédie pédiatrique à Strasbourg », La Gazette de la Société française d’orthopédie pédiatrique, n°26, février-mars 2009.
  • HERAN Jacques, VINCENTE Gilbert, « Les mutation de la faculté depuis 1945 », in Jacques Héran (dir.), Histoire de la médecine à Strasbourg, Strasbourg, La Nuée Bleue, 1997, p. 639.
  • HERAN Jacques, « Cliniques chirurgicales A et B : leur héritage et l’extension des nouvelles spécialités chirurgicales », in Jacques Héran (dir.), Histoire de la médecine à Strasbourg, Strasbourg, La Nuée Bleue, 1997, p. 694.
  • « Entretien : Jean-Michel Clavert », Maîtrise orthopédique, n°198, novembre 2010.
  • Fiche Généanet de la famille Buck, https://gw.geneanet.org/bguillaume?lang=en&pz=bernard&nz=guillaume&ocz=1&p=marie