Âge :
Confession :
Profession :
Reichsdeutscher ou Alsacien :
- Une personne est en train de mourir dans d’atroces douleurs. Le médecin constate déjà des signes cliniques pré-mortem. Approuvez-vous que par l’administration d’un analgésique, on soulage les dernières heures de la vie du mourant, mais que cela pourrait peut-être précipiter le décès ?
Raison :
- Approuvez-vous qu’un patient, souffrant d’une maladie incurable – mais qui, selon l’expérience médicale, entraînera la mort dans un avenir proche –, soit soulagé de sa souffrance de quelque manière que ce soit ? Cela ne devrait-il se produire que sur demande spéciale ?
Raison :
- Imaginez qu’une personne soit atteint d’une forme importante de débilité survenue à la suite d’une déficience mentale congénitale ou d’une maladie mentale apparue par la suite. La personne en question est devenue complètement sans valeur pour la communauté du peuple, oui, même un fardeau. Diriez-vous que de telles personnes pourraient être retirées sans douleur du monde ? Cela devrait-il être réalisé avec ou sans le consentement des proches, oui, même contre la volonté de ceux-ci ?
Raison :
- Est-ce que les décisions soulevées aux points 1, 2 et 3 devraient être prises par
- le médecin traitant
- accorderiez-vous la même confiance au corps médical si le médecin était investi d’un tel droit ?
- une commission qui serait composée du médecin traitant, d’un médecin spécialiste de la maladie en question et d’un juriste.
Raison :
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